Un collectif, ça bouge, ça se transforme, ça évolue en somme, ça vit. Ici on va vous parler de gens qui nous sont chers, sans qui le cocon des canailles n’aurait peut-être jamais commencé et qui pourtant, n’en font plus partie.
Si jamais vous avez regardé notre vidéo de génèse (si vous ne l’avez pas vue, elle est ici : https://www.facebook.com/lecocondescanailles/videos/1148803502527709 !) vous avez pu apercevoir deux jolies frimousses que l’on appelle Seb et Fanny ou Sebanny pour les intimes. Sebanny, c’est avant tout des amies, rencontrées en école d’ingé pour les membres qui y sont passés, plus tard pour les autres, et qui ont pour particularité d’inspirer la plupart de ceux qu’elles croisent dans leur vie.
Ce sont elles les premières, parmi nos cercles proches, à avoir osé changer de vie, à oser préférer les pâturages aux rues citadines, la permaculture au tableau excel, et la yourte chaleureuse au béton grisonnant. C’est avec elles et leur force motrice que nous avons défini la vision du Cocon, son cadre, sa gouvernance, ses idéaux. C’est avec elles et leur élan que nous avons commencé à y croire, à faire des visites, à imaginer la vie telle que nous la voulions. Et puis, à force de discussion, d’honnêteté et de divergences, c’est sans elles que nous avons continué.
La force d’un collectif et de ses membres c’est aussi de savoir accepter que nos visions divergent, et que, bien qu’à contre cœur, nos chemins ne mènent plus au même endroit. Alors, loin des yeux mais près du cœur, elles entreprennent maintenant leur projet à elles, aujourd’hui à l’Oasis de Gleizé, dont on vous a déjà parlé, et puis demain qui sait… peut-être ailleurs. Mais jamais trop loin, parce que des amies comme ça, on ne les quitte jamais vraiment.
Merci à vous les copaines, et à très vite
Canaillement vôtre
L’équipe du Cocon.
